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Les Ingrédients Que Nous n'Utilisons Pas
Tous les ingrédients ci-dessous listés sont exclus des Sérums Elixseri. Mais cette liste n'est pas exhaustive. Elle ne comprend pas les ingrédients « non-sérum » tels que le PABA ou les protections solaires chimiques, car ces ingrédients ne feront non plus jamais partie de nos produits.
En revanche, vous trouverez dans cette liste de nombreux ingrédients souvent bénéfiques aux produits (tels que les silicones), ou bien « autorisés à être utilisés en cosmétique » par de nombreuses organisations professionnelles (tels que les glycols). Mais nous avons fait le choix de ne pas les inclure dans nos produits. A notre avis, soit ces ingrédients sont douteux en termes de toxicité, soit ils posent des problèmes personnels pour nous sur un niveau écologique, soit ils sont tout simplement non nécessaires.
ALCOOL : alcool SD, alcool isopropylique ou alcool dénaturé |
L’alcool est un solvant asséchant et irritant qui peut appauvrir la barrière hydrolipidique naturelle de la peau et altérer sa flore naturelle. Bien que très utilisé dans les soins de la peau pour stabiliser le produit ou pour des raisons esthétiques, il peut réagir dangereusement avec d’autres ingrédients et facteurs environnementaux comme les rayons UVs, favorisant l’apparition de tâches brunâtres et le vieillissement prématuré de la peau. Les alcools gras tels que les alcools cétyliques, stéaryliques et cétéaryliques ne provoquent pas tous les mêmes effets et peuvent être dans certains cas bénéfiques à la peau. Il se peut qu’à l’avenir nous décidions d’inclure des alcools gras dans nos produits. |
Ingrédients à base d’AMMONIAC : chlorure d’ammonium, hydroxyde d’ammonium |
L’Ammoniac, l’Hydroxyde d’Ammoniac et le Chlorure d’Ammonium sont utilisés en quantité dans les produits en tant qu’ajusteurs de pH ou pour augmenter la viscosité. Le CDC (Center for Disease Control) a déclaré qu’en cas de contact avec la peau, l’Ammoniac pouvait provoquer des irritations et des rougeurs. Et l’Organisation Mondiale de la Santé stipule qu’il est responsable, en cas de contact prolongé, d’un dessèchement de la peau, de l’endommagement des cellules cutanées et d’éventuellement provoquer de sérieuses complications de la peau. Ca suffit pour nous. Le POLYQUATERNIUM est typiquement un composé à base d’ammonium, souvent appelé « quat ». Les quats constituent une famille variée de composés, chacun avec son propre spectre de propriétés et toujours associé à un chiffre (-5, -10, -44). Les profils de ces quats au niveau toxique ne sont pas identiques. Nous utilisons le polyquaternium -37 (un polymère formant une couche hydrophobe) dans un de nos sérums comme agent de conditionnement. Notre polyquaternium ne contient aucun composé d’ammoniac et il est classé partout comme non-irritant dans les produits d’hygiène personnelle. |
ALUMINIUM : alumine (dérivé), silicate d’aluminium et magnésium, amidon d’aluminium |
L’Aluminium est l’élément le plus répandu sur Terre, reconnu pour sa toxicité à forte dose. Les matériaux bruts à base d’Aluminium sont souvent utilisés dans les produits cosmétiques, pharmaceutiques et médicaments en vente libre. Dans les cosmétiques, certains composés contenant de l’aluminium peuvent agir comme agents pigmentant et épaississants, et dans de nombreux cas sont considérés comme inoffensifs. Cependant, nous avons fait le choix de nous en passer dans nos sérums. |
BHA / BHT : hydroxytoluène butylé, hydroxyanisole butylé |
Ce sont des antioxydants synthétiques utilisés comme conservateurs dans les produits cosmétiques et dans la nourriture. Les BHA et BHT peuvent provoquer des réactions allergiques de la peau. L’Agence Internationale de Recherche contre le Cancer classe le BHA comme possible cancérigène pour l’humain. La Commission Européenne des Perturbateurs Endocriniens a aussi listé le BHA comme une substance prioritaire de Catégorie 1, car il a été prouvé qu’il interférait avec la fonction hormonale. Le Japon a interdit toute utilisation de BHA dans la nourriture. Autant de raisons pour nous de ne pas les utiliser. |
GOUDRON DE HOUILLE |
Le goudron de houille est en fait un ancien remède utilisé pour traiter le psoriasis de la peau. Cependant, le goudron de houille peut provoquer une hyper-sensibilité de la peau aux rayons UV. Cet ingrédient a été interdit de tous les Cosmétiques de l’Union Européenne. |
DEA : Cocamide DEA, DEA Lauryl Sulfate, Lauramide DEA, Linoléamide DEA, Oléamide DEA |
La Diéthanolamine (DEA) est un agent tensioactif utilisé dans les soins de la peau et les cosmétiques pour donner une consistance agréable. Combiné avec d’autres ingrédients, le DEA peut produire de la nitrosodiéthanolamine (NDEA), un composé cancérigène facilement absorbé par la peau. |
Conservateurs synthétiques à base d’ÉTHANOL : Butyoxyéthanol, Phénoxyéthanol |
Le Butyoxyéthanol est un alcool éther utilisé dans les soins de la peau principalement pour dissoudre les autres substances et pour réduire la viscosité. Il est aussi utilisé dans de nombreux produits d’entretien industriels et domestiques tels que les décapants à plancher. Tout est dit non ? Le phénoxyéthanol est un liquide gras légèrement collant utilisé comme conservateur dans une large palette de soins de la peau. Les effets secondaires possibles liés à son utilisation comprennent l’irritation de la peau, les réactions allergiques, l’inflammation, une dermatite et des réactions sévères de la peau pour les personnes souffrant d’Eczéma. Le Japon et l’UE ont restreint l’utilisation de ce produit chimique dans les cosmétiques, nous avons donc fait le choix de nous en passer. |
HUILES ESSENTIELLES |
Les huiles essentielles jouissent d’une bonne réputation dans les produits naturels, mais nos chercheurs ont choisi de se concentrer sur les risques associés à ces ingrédients. En raison du procédé d’extraction, généralement via distillation, les huiles essentielles sont rarement « pures » et peuvent contenir diverses molécules volatiles comme les terpènes et terpénoïdes, les composés aromatiques à base de phénol et les composés aliphatiques. De plus, leur utilisation en contact direct avec la peau peut amener à des explosions de radicaux libres pouvant endommager l’ADN cellulaire. Enfin, de nombreuses huiles essentielles sont reconnues comme irritantes pour la peau, et donc considérées comme non bio-disponibles. Nos sérums étant à base d’eau, nous utilisons uniquement des huiles bio-identiques pour leurs propriétés lissantes et leur confort. Notre fragrance (« parfum ») n’est pas composée d’huiles essentielles mais plutôt de substances uni-odorantes à très faible concentration qui sont bio-identiques et garanties 100% sans allergènes. |
GLYCOLS, d’origine synthétique : butylène, propylène, polyéthylène, pentalène |
Bien que les glycols produits naturellement (sucres) soient reconnus comme d’excellents moyens de stockage d’humidité en temps de sécheresse, ils sont très peu utilisés dans les cosmétiques. À leur place, les industriels créent des glycols à base de pétrole. Ils assurent une stabilité ou retiennent l’humidité, mais sont rarement issus de plantes. Nous n’utilisons aucun glycol à base de Pétrole ou produit synthétiquement. |
HYDROQUINONE |
C’est un ingrédient reconnu pour ses propriétés éclaircissantes de la peau utilisé dans de nombreux produits cosmétiques. Sa principale fonction est de diminuer la production de mélanine de la peau. Cet ingrédient est interdit d’utilisation dans les cosmétiques en Union Européenne, et plusieurs recherches ont démontré qu’une utilisation continue de cet ingrédient peut provoquer un amincissement et une fragilisation de la peau, la rendant plus sensible aux dommages des rayons UVs. |
IODOPROPYNYL BUTYL CARBAMATE (IPBC) |
L’IPBCS est un conservateur qui empêche la prolifération de moisissure, de bactéries et d’autres microbes et qui est efficace contre une grande variété de microorganismes. L’IPBC est suspectée d’être une toxine à plusieurs niveaux, et l’Union Européenne limite son usage dans les cosmétiques à des concentrations maximales de 0,02% dans les produits à rincer, et 0,01% dans les produits sans rinçage, c’est pourquoi elle intègre la liste d’ingrédients que nous n’utilisons pas. |
PLOMB : acétate de plomb, chrome, thimérosal, sodium hexametaphosphate |
Le plomb est un minerai présent naturellement dans la croûte terrestre et dans presque tout à faible dose. Il est aussi parfois présent dans les produits à base de mineraux pour son effet pigmentant. Bien que nous ayons tous entendu parler des dangers du plomb pour la santé, il se retrouve en si faible quantité dans les cosmétiques qu’il ne pose aucun danger aux humains. Dans nos sérums, cet ingrédient est assez facile à éviter. |
MERCURE : chlorure de mercure, calomel, mercurique, mercurio |
Comme le plomb, le Mercure est une substance naturellement présente sur Terre qui peut être extrêmement toxique. La FDA et la commission Européenne limite l’utilisation du mercure dans les produits d’hygiène personnelle à des doses infimes. Malheureusement, il est parfois utilisé comme ingrédient dans les soins de la peau « exotiques » comme éclaircissant ou antivieillissement. Mais pas dans nos serums. |
METHYLISOTHIAZOLINONE |
Le Methylisothiazolinone, ou MIT, est un des conservateurs chimiques les plus irritants. Il est capable de tuer des organismes vivants comme les bactéries (donc totalement contraire à notre philosophie sur le microbiome), de manière soi-disant sélective. Cet additif est très souvent utilisé dans les shampooings et en raison de sa réputation, il est autorisé uniquement dans les formules à rincer et en faible concentration sur presque tous les continents. Pas pour nous. |
HUILE MINÉRALE |
L’huile minérale, aussi connue sous le nom de paraffine liquide, est un dérivé du pétrole et ne peut pas être synthétisée par la peau. C’est une alternative économique à d’autres ingrédients nourrissants ou adoucissants, mais elle est beaucoup moins bio-identique. Les Huiles Minérales bloquent les pores et empêchent la peau de respirer et de fonctionner. Marina remarque immédiatement lorsque ses clients ont utilisé trop d’huile minérale sur leur peau. Nous évitons au maximum les ingrédients à base de pétrole, privilégiant à la place les extraits et huiles naturels similaires au sébum de la peau. |
PARABENS : benzylparaben, butylparaben, isobutylparaben, methylparaben, propylparaben |
Les Parabens sont des conservateurs synthétiques très répandus depuis les années ’50 dans la nourriture, les produits pharmaceutiques, les cosmétiques et les produits d’hygiène personnelle pour empêcher toute prolifération bactérienne. Dans les années ’90, les parabens ont été reconnus comme xénoestrogènes – agents qui imitent l’œstrogène dans le corps – et d’après certaines études liés au cancer du sein et à des troubles de la reproduction. Le rejet des consommateurs depuis a forcé les fournisseurs de matériau brut à trouver des alternatives plus sûres. Et grâce aux avancées de la recherche en chimie, il n’y a aucune raison d’utiliser des produits chimiques des années ’50 pouvant présenter un risque. Nous ne nous prononçons pas sur la controverse sur le paraben jusqu’à ce que plus d’informations soient disponibles. Nous essayons seulement de faire des choix plus sûrs. |
PEG’S : polyéthylène glycol, PPG’S : polypropylène glycol |
Les PEGs sont des composés chimiques issus du pétrole souvent mélangés avec des acides gras et des alcools gras pour créer des ingrédients pouvant hydrater, stabiliser les produits et améliorer la pénétration des autres ingrédients. De nombreux tests ont permis de mettre en évidence les impuretés présentes dans les composés PEG liées à de sérieuses maladies. Les PEGs sont souvent suivis de chiffres, qui indiquent leur poids moléculaire. Mais des PEGs de toutes tailles peuvent pénétrer les peaux sensibles souffrant d’une fonction de barrière diminuée, pouvant provoquer des irritations. Les PPGs sont plus hydrophobes que les PEGs et c‘est pourquoi ils sont parfois utilisés comme remplacement des huiles minérales. Nous avons fait le choix d’éviter les deux. |
PHTALATES : diéthyl phtalate (DEP) |
Les Phtalates sont souvent présents dans les plastiques, sont un composant fréquent des parfums synthétiques, et sont parfois utilisés dans les cosmétiques comme lubrifiants. Ils ont été récemment classés comme perturbateurs endocriniens. Le DEP est le seul phtalate utilisés fréquemment dans les formules de cosmétiques aujourd’hui. Il est préparé en faisant réagir de l’acide phtalique avec du méthyl alcool, de l’éthyl alcool et du butyl alcool, respectivement, ce qui nous fait plutôt peur. Nous ne savons pas exactement le rôle des phtalates mais heureusement, nous n’en utilisons pas dans nos produits. |
SILICONES : diméthicone, méthicone |
Les silicones sont des substances répandues dans les cosmétiques utilisées comme émollient pour donner au produit une texture lisse et douce. Les silicones synthétiques pour cosmétiques sont des dérivés de minéraux connus pour provoquer très peu d’allergies, et sont donc classés comme sûrs pour les cosmétiques. La plupart d’entre nous peuvent désormais reconnaître des formules contenant du silicone en raison de leur aspect soyeux et luxurieux. Cependant, les silicones ne sont surtout pas bio-identiques car ils sont semi-occlusifs et ne peuvent pas être absorbés facilement par la peau. Cela peut résulter en des pores obstrués et des points noirs, et possiblement des irritations dans certains cas d’utilisation prolongée. Nous considérons les silicones comme les «aventures d’un soir» des ingrédients cosmétiques, offrant une superbe sensation mais n’apportant rien de concret à la peau. Et bien que de nombreuses études aient démontré que les silicones pouvaient être utilisés sur la peau sans danger, ils sont considérés comme bio-accumulatifs et donc possiblement dangereux pour l’environnement. Nos sérums étant à base d’eau, nous avons fait le choix de ne pas utiliser de silicones et nous les remplaçons par des huiles naturelles bio-identiques. |
COULEURS SYNTHÉTIQUES |
Les couleurs synthétiques les plus fréquemment utilisées dans les cosmétiques sont appelées couleurs FD&C et elles sont dérivées du goudron de houille, qui est lui-même un dérivé du pétrole. Elles sont dénommées FD&C suiviess d’une couleur et d’un chiffre. (Exemple : FD&C Rouge N°6 / D&C Vert N°6). En plus du goudron de houille, les couleurs cosmétiques peuvent aussi être obtenues à partir d’oxyde de chrome et de poudre d’aluminium. Les couleurs synthétiques sont potentiellement responsables du développement de cancers. Nos sérums ne sont pas tous blancs comme neige, mais ils sont au moins libres de tous ces agents néfastes. |
SULFATES : sodium lauryl sulfate (SLS), sodium laureth sulfate (SLES) |
Les Sulfates sont des ingrédients synthétiques partiellement à base de soufre, qui est lui obtenu à partir de pétrole ou d’autres sources. Certains sulfates peuvent avoir la noix de coco comme origine, mais sont souvent mélangés à d’autres composés synthétiques dans la formule. Bien que la plupart des sulfates ne soient pas des molécules sensibilisantes pouvant provoquer des réactions allergiques en soi, ils sont irritants et chez certaines personnes peuvent affecter la peau, provoquant des rougeurs, un assèchement et des démangeaisons. De plus, ils sont absorbés par la peau, ce qui constitue pour nous un énorme frein lorsque l’ingrédient n’est pas naturel. |
TRIETHANOLAMINE / THÉ |
La Triethanolamine, une autre substance à base d’ammoniac, est utilisée pour équilibrer le pH ou apporter une lubrification aux préparations cosmétiques. Les Triethanolamines peuvent sévèrement irriter la peau et perturber sa réponse immunitaire. De plus, ils se transforment en produit cancérigène après avoir réagi avec des agents de nitrosation et peuvent être toxiques si absorbés par le corps pendant une longue période. |
URÉE : hydroxyéthyl, diazolidinyl, imidazolidinyl |
L’Urée est une substance naturelle de notre propre peau et un hydratant important, représentant 7% des facteurs naturels d’hydratation du stratum corneum. Mais les composés à base d’urée utilisés dans les cosmétiques sont synthétiques, formés à partir d’ammoniac et de dioxyde de carbone. L’urée hydroxyéthyl est un humidifiant puissant et considéré comme un ingrédient cosmétique sûr. Les autres sont des conservateurs et antibactériens communs pouvant provoquer des dermatites (Académie Américaine de Dermatologie), et lorsque combinés avec d’autres conservateurs, ils peuvent libérer de la formaldéhyde et sont donc considérés comme toxiques. Nous n’utiliserons jamais d’urée diazolidinyl orimidazolidinyl dans nos sérums ainsi que l’urée hydroxyéthyl car elle a comme base l’ammoniac. |